Des solutions pour se prémunir

 

Ateliers habitat vivant

 

 

Rappelons que le compteur Linky recueille les données de la courbe de charges, et que ces informations sont transmises jusqu'à des concentrateurs grâce à du CPL (des Radiofréquences), et ensuite via des antennes-relais (rayonnant également des Hyperfréquences) jusqu'à des SI (Systèmes d’informations centralisées ou Datacenter)....













Une solution intéressante pourra être de couper le compteur électrique durant la nuit...

 

On sera alors assuré de ne plus avoir d'émissions de 50 Hertz (et plus de CPL) durant le sommeil dans la totalité de son lieu de vie.

 

Il suffira de conser-ver une ligne sépa-rée commandant par exemple le frigo et le congélateur, le chauffe-eau électri-que ou la chaudière.

 

On pourra aussi installer un contac-teur modulaire ou de puissance, qui permettra de com-mander les zones nuit ou même de couper l'alimenta-tion générale quand on le souhaite.

 

* Expérience à    réaliser : couper    le compteur    général et    observer ce qui    se passe au bout    d’environ 1 heure,
   1 heure 1/2...

 



Le constat

Un filtre n'ayant pas été prévu, en transmettant les informations de consommation, des radiofréquences viennent s'ajouter à celles déjà présentes et se propagent dans l'environnement des habitations via le compteur.

 

* En observant que même lorsque le compteur Linky n'est pas posé, et qu'on pense être protégé parce qu'on l'a soi-même    refusé (ou la commune), on n'en est pas moins impacté notamment par le courant CPL provenant des concentrateurs et    des habitations environnantes, qui est présent sur tout le réseau national Erdf...

 

Il convient également de prendre aussi en compte le fait que comme les câbles de ce réseau, ceux des installations électriques intérieures se comportent comme des antennes vers lesquelles convergent des rayonnements électromagnétiques de toutes fréquences (sauf s'ils sont blindés hautes fréquences), ce qui constitue l'électricité polluée ou sale.

 



 

Bonne nouvelle, des solutions existent...

 

La meilleure des solutions sera de refuser la pose de ce type de compteur, ce qui est légal contrairement à certains discours ambiants..., le refus de l'accès aux poseurs étant d'autant plus simple lorsqu'il sera situé à l'intérieur de l'habitation.

 

Plus d'infos...

 

Robin des toits

 

Enedis reconnait l'électrohypersensibilité...

 

Un kit de refus VigiLinky pour les copropriétés

 

On pourra installer un filtre dit de série ou passe-bas, qui permettra de bloquer les CPL entrant et sortant (selon les modèles), ainsi que réduire les microsurtensions présentes dans l'installation électrique (mais qui ne réduira cependant pas les champs électriques émis par l'installation et les câbles).

 

Un appareil qui s’intercale entre le compteur et le tableau électrique (devant être installé par un électricien), avec cette remarque, que les plus efficaces ne sont pas forcément les plus chers, les moins chers faisant tout à fait l’affaire tant
que l’on reste dans la limite de 40 Ampères de courant circulant...

 

Le mesureur Line EMI meter





 

Parmi les plus performants...

 

- le Strike de Spica, disponible chez Auxillium,

 

- le Penda de Polier, chez Choix de vie, Geotellurique, Auxillium, ou Electromagnetique.

 

- l'Absomagnet d'Abso ondes, chez CEM-vivant,

 

- le Zen Protect de Biovolts, chez BioVolts protect, Geotellurique, ou Electromagnetique.

 

  * On notera qu'il semblerait que le Prostop65 soit un Filtre Emikon vendu plus cher.

 

Une vidéo explicite qui résume le fonctionnement

Les détails du compteur Linky Des filtres parallèles permettront eux d'agir sur les effets biologiques potentiels produits par les fréquences parasites générées par l'électricité sale (dirty electricity).

 

Se connectant simplement sur des prises murales, ce type de matériel permettra de fortement atténuer
et même supprimer ces perturbations en installant des appareils spécifiques...

 

- un Panda de Polier, chez Geotellurique, ou Electromagnetique.

 

- un (ou des) Stetzerizer, chez Geotellurique.

 

- un Absoplug, chez CEM-vivant, ou Abso ondes.

 

- on pourra expérimenter l'appareil neutralisateur d'ondes Pro-Link

 

Comme les câbles des installations électriques ne sont pas prévus pour ce type de fréquences, et qu'ils captent
et réémettent ces rayonnements dans toutes les pièces d'habitation, mettre en place des gaines ou
des câbles blindés (hautes fréquences) pour les neutraliser sera l'idéal, mais pourra s'avérer compliqué et coûteux dans l'habitat existant.

 


 

Le mesureur Line EMI meter Une solution pour quantifier les microsurtensions pourra être d'utiliser un appareil spécifique qui se
connecte directement sur une prise du secteur, et qui permet de mesurer la pollution en mV (millivolts)
dans la gamme de fréquences des pollutions du CPL (ici un Line EMI Meter, qui mesure l'électricité sale
de 10 kHz à 10 MHz).

 

Au travers d'un premier test, l'environnement pouvant à priori être considéré comme :
- bon (sous les 100 mV, 70 unités GS pour les appareils Stetzeriser).
- peu pollué (entre 100 et 200 mV (140 GS).
- modérément pollué (de 200 à 500 mV.
- fortement pollué (de 500 à 1.000 mV (700 GS).
- très fortement pollué (au dessus de 1.000 mV.

 

Appelé détecteur d'électricité sale (dirty electricity), cet appareil permettra de se rendre compte
de ce qui se passe Avant/Après la pose d'un filtre...
- En évaluant le niveau d'électricité sale sur le réseau domestique.
- En identifiant les sources de pollution et les appareils perturbateurs.
- Et en objectivant l'efficacité des filtres installés.

Une vidéo explicite qui résume le fonctionnement

 



 

En complément

 

On va dire sur le plan des énergies subtiles, on pourra par exemple employer les produits CMO, une gamme de produits parmi les rares dont les scientifiques reconnaissent qu'il se passe quelque chose, ou aussi des produits à base de shungite, qui exerceront une action sur les effets de ces rayonnements.