En circulant, les courants d’eaux souterrains créent des zones d'influences géopathogènes où l'on observe notamment des micro-courants électriques, soit une différence de potentiel de plusieurs dizaines de millivolts à la verticale de chaque rive.
Selon la nature des roches traversées, le débit et la vitesse de l’eau, ces rayonnements modifient localement l’homogénéité du champ magnétique terrestre, dont on constate un affaiblissement de son intensité ainsi qu’une modification de la qualité de l’ionisation de l'air.
De manière similaire à l'homéopathie, tel un disque dur, elle enregistre les informations lorsque par exemple elle traverse un cimetière, une fosse septique, ou une décharge...
Son impact en sera augmenté d'autant lorsqu'elle circulera dans des failles ou des fissures souterraines, leur influence venant alors se surajouter...
Avec les courants d'eau souterrains, les failles sont un des phénomènes les plus perturbants...
Les failles que nous prenons en compte en Géobiologie n'ont pas la taille de celle de San Andreas
qui s'étend du golfe de Californie au nord de San Francisco, nous parlons ici de discontinuités
du sous-sol.
On a coutume de faire démarrer la Géobiologie avec la (re)découverte par le docteur Ernst
Hartmann du réseau géomagnétique qui porte son nom...
Un exemple de l’incidence d’une exposition sur une faille géologique ou un nœud de réseau Hartmann...