Les églises romanes

Une expérimenta-tion a été réalisée sur une personne avant et après qu'elle ait effectué un cheminement de régénération dans une église romane.

 

 

Le principe est simple, étant un émetteur naturel de photons, d'électrons et de particules quantiques, le corps est soumis à un courant électromagnétique émis par un spectrographe qui rend visible ces émissions, ce rayonnement impressionne le papier photogra-phique, qui une fois développé donne l'image spectrographique des pieds et des mains.

 

On voit nettement apparaître une énergie très faible, cette énergie bioluminescente très compacte démontrant que l'information circule faiblement au niveau des électrons et des photons.

 

Après avoir effectué le parcours, on observe une modification énergétique importante, les photons sont visibles sous la forme d'aigrettes qui entourent l'énergie des pieds...

 

 

On s'aperçoit que globalement, le passage dans l'église a modifié son aspect énergétique.

Succédant aux mégalitheurs, aux Mérovingiens et aux Carolingiens, puis véritables "centrales" énergétiques, les constructeurs des églises romanes ont mis en oeuvre ces connaissances, et plus tard, les bâtisseurs du moyen-âge ont érigés les cathédrales...

C'est ainsi qu'on peut observer la présence d'un menhir encastré dans un pilier de la crypte de la basilique d'Orcival dans le Puy-de-Dôme...

Les églises romanes fonctionnent sur plusieurs niveaux...
- Au plan physique, elles régénèrent et renforcent...
- Au plan spirituel, elles permettent d'avancer vers plus de conscience et favorisent la rencontre d'énergies subtiles supérieures...

Chaque église possède une orientation particulière, afin d’obtenir le meilleur parti des énergies spécifiques au lieu...
Généralement orientées face à l'est, au soleil levant, comme dans les édifices antiques, elles sont positionnées par rapport à la course du soleil et aux constellations, à Orcival en Auvergne par exemple, le pilier de l'Assomption est éclairé à midi au solstice d'hiver.

Sur le plan symbolique...

• La partie basse de la nef, rectangulaire correspond au monde physique, corporel.
• La partie droite est (mâle), c’est le domaine du physique, du solaire et du conscient (la place des hommes au Moyen Âge ?!).
• La partie gauche est (féminine), c’est le subtil, l’inconscient, l’invisible (la place des femmes).

Les chapiteaux délivrent un enseignement, ce sont aussi des portes énergétiques...

• L'entrée et la partie basse est tellurique, on y trouve souvent des monstres ou des masques grimaçants qui émettent une vibration lourde (l'homme du moyen âge la percevait dans son corps) : ce sont les gardiens du seuil, avec parmi eux le dragon qui nous invite à considérer notre animalité et maintenir à distance nos préoccupations quotidiennes et matérielles avant d'entrer.

 

• À Notre-Dame-du-Port à Clermont-Ferrand par exemple, des fleurs ouvertes et fermées alternent dans la nef pour indiquer une forme de respiration énergétique, les fleurs en boutons = l’inspiration et les fleurs ouvertes = l’expiration.
  

   

  Cette alternance nous signale un chemin d'énergies qui s'ouvrent ou se ferment dès qu’on s'arrête au pied d’un pilier pour méditer sur la signification du chapiteau.

 


• À Thuret dans le Puy de Dôme, un des premiers chapiteaux est un singe encordé par le cou qui ne peut se redresser : symbolisée par la corde, l'énergie tellurique dégagée à cet endroit par le pilier le bloque au niveau du chakra de la gorge empêchant l'énergie d'en haut de passer, il peut se recharger de l'énergie de la terre, mais pour se relever, il doit aussi trouver l'énergie cosmique en ouvrant sa partie spirituelle.
  

   

  Sur un autre, l'atlante (acrobate ou jongleur), debout ou les yeux presque ouverts, repousse la voûte de ses bras : il ne se laisse pas
  écraser par le poids de la vie et des passions et nous montre comment nous relever en conscience en faisant contrepoint au singe.
  

   

  Les boeufs, les cochons ou les sangliers sont aussi des animaux telluriques, ce sont souvent des représentations symboliques du druide (l'église de Thuret reposant sur un ancien lieu celtique).

 

• Les anges, hommes ailés, sont indiqués par le boeuf tellurique, qui symbolise les énergies cosmiques et le passage des unes aux autres que l'on doit réaliser pour devenir l'homme debout, l'atlante regarde la lumière placé sur un chapiteau orienté plein sud.

 

• Le héron, un échassier capable de voler (sur un chapiteau du choeur au plus haut de l'église), a les pattes plantées dans l'argile des origines et tient dans son bec le serpent de l'énergie tellurique (la vouivre) qu'il maitrise en le tenant par la queue, c’est le symbole parfait de la fusion des forces opposées.

 

• Une église est un bateau renversé flottant sur les eaux du ciel, ancré dans le sol et permettant d'atteindre l'au-delà intérieur (le ciel, la Jérusalem céleste).