Les menhirs et les dolmens

 

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Le fonctionnement et l'approche des menhirs et des dolmens requièrent des protocoles qui sont étudiés en géobiologie...

 

Dans son excellent ouvrage "Le souffle du menhir", Gilbert Le Cossec a mis en évidence leur amplitude vibratoire, une respiration permanente qui fluctue selon la course du soleil, entre les énergies d'en bas (telluriques), et celles d'en haut (cosmiques).























À l’instar d’un condensateur, les menhirs se chargent lentement, puis se déchargent en un instant, selon un rythme pulsatoire régulier.

 

Plus un menhir est important, plus son rythme sera lent et plus la décharge
sera puissante, cette montée en puissance s’effectuant selon la course solaire,
ces phénomènes étant moins puissants la nuit, et le rythme des pulsations beaucoup plus lent...

 

À la rencontre des pierres levées...

 

Du breton Men Hir = pierre longue... la fonction des menhirs est d'être des antennes, la partie enterrée captant les influences telluriques, la partie émergée les influences cosmiques, leurs emplacements n’ont donc pas été choisis au hasard, mais savamment étudiés...

 

Ce sont des pointes Yang (masculines) qui permettent de mettre en route le fameux "solve coagula" des alchimistes, ils vont également rassembler en les densifiant tous les réseaux pour les dissoudre à leur pointe, en créant une inversion de polarité.

 

De la même manière que l'acupuncture réharmonise les flux et les énergies de nos méridiens corporels, les menhirs régulent les flux et les méridiens de la Terre par géopuncture.

 

Tout en harmonisant ces forces, ils sont généralement alignés les uns par rapport aux autres et relaient entre eux des informations à des distances pouvant s'étaler sur plusieurs centaines de kilomètres.

 

Lorsqu’un menhir est implanté dans sa bonne polarité et bien orienté, on va s’apercevoir qu'il va attirer à lui les réseaux, et que le (dit) Hartmann va se réduire comme une peau de chagrin, avec des mailles de plus en plus petites, pour se concentrer en un croisement sous la pierre.

 

Il est très fréquent de trouver une église ou une chapelle qui a été érigée sur un ancien emplacement de mégalithe, dans le but de profiter de ces autoroutes énergétiques pour véhiculer leurs propres messages.


Les noces du ciel et de la terre

Un site sacré résultant de plusieurs facteurs : la matière, l’énergie et l'information... du lieu émanent des informations particulières transmises à la matière par le canal de l'énergie...

 

Les réseaux mégalithiques = une chaîne d’info qui diffuse en continu des champs informationnels, comme on parle d’information pour l’eau, il en est de même pour les pierres, qui captent et récupèrent notamment les informations des astres vers lesquelles elles pointent.

 

La géobiologie sacrée

Si l’information du soleil et de la lune parviennent jusqu’à nous, celles des lointaines étoiles exercent aussi leur influence, la mise en résonance avec le cosmos entrant en jeu dans l’utilisation d’un dolmen ou d’un menhir : rituel, passage pour les morts, initiation, fonction thérapeutique, magie,...

 

Loin d'être laissé au hasard ou à la fantaisie des bâtisseurs, les mégalithes nous montrent combien ils ont su observer leur monde, ils constituent l’un des plus anciens "envoûtements" que nous puissions observer.

 

Le souci des orientations découlant d'un choix réfléchi, qui sera repris dans les édifices comme les chapelles, les églises ou les cathédrales.


 

Les particularités géotelluriques

Outre les courants d'eau et les failles, on trouve sous un mégalithe un point de rencontre des énergies de la terre, notamment apportées par les réseaux avec une concentration des résilles les plus connues, sans oublier les courants telluriques...

 

L'emplacement choisi pour la pose est ainsi un point où l’on va retrouver toutes les énergies du lieu qu’on peut qualifier de forces chtoniennes, mais pas que...


 

Le soleil a rendez-vous avec la lune...

La géobiologie sacrée

Grâce aux récits légendaires, on connaît l’importance du ciel étoilé dont la disposition était bien connue.

 

Le cosmos étant à l’origine d'une grande partie des informations que le vivant reçoit, on peut imaginer la volonté d’ancrer un mégalithe sous un point précis de la voûte céleste en rapport avec un lever héliaque.

 

Nos lointains ancêtres ont ainsi projetés sur le sol certaines constellations, dont la Grande Ourse et la Vierge semblent avoir été le plus souvent utilisées.


 

Lorsqu'un menhir est placé sur un tel point, il se comporte comme une aiguille d'acupuncture, de la même manière qu'un acupuncteur va rechercher à rétablir un équilibre harmonieux de la circulation de l'énergie vitale (le Ch'i), la pierre va jouer la même fonction sur la surface de la terre.

 

La géobiologie sacrée Un informaticien bien informé connaissant les vertus électroniques mémorisantes du silicium, de la silice et de tous les silicates, capables d'emmagasiner un nombre invraisemblable de communications de toutes natures.
ainsi par la pierre passe l’esprit...

 

On peut imaginer les possibilités d'interventions diverses, matérielles d'un bloc de granite constitué de plusieurs tonnes de silicates divers, feldspath, quartz, mica et autres amphiboles, lui-même implanté dans tous les silicates de l'argile.

 

Pour mettre en action cette pile, il ne faudra qu'un peu d'électricité et de magnétisme, et ce n'est pas ce qui manque sur et sous la terre, comme dans l'atmosphère.

 

"Sic transit spiritus per petram...",
ainsi par la pierre passe l’esprit...

 

 

De par leur forme, les dolmens sont plutôt eux la représentation d'une matrice, ils se chargent d'une énergie Yin féminine beaucoup plus douce, ce qui ne veut pas dire pour autant qu'ils soient sécurisants, il en existe qui sont même à éviter.

 

Concentrant la polarité négative sous la dalle de couverture, ils renvoient le positif vers l'extérieur, des données à prendre en termes de complémentarité.

 

Sur le plan énergétique, la détection biophysique permet de nous apercevoir qu'un dolmen se trouve placé dans une zone neutre, qu'il est le plus souvent encadré par des lignes de réseaux qui repoussent à l'extérieur les informations telluriques, en ce sens la pierre est comme protégée.

 

La géobiologie sacrée Des zones telluriques qui préfigurent le principe de la triple enceinte, que nous allons retrouver sur des sites celtiques, ou encore dans la conception des églises romanes.

 

On trouve souvent une rivière souterraine dans l'axe de la table, certaines allées couvertes dont le couloir central tourne, on peut également constater que la disposition de l'ensemble des pierres est orientée dans le sens du passage de l'eau, et lorsque la rivière axiale tourne, le dolmen tournera lui aussi.