Recherchant à comprendre leur nature, Georges Prat, architecte et géobiologue, a travaillé avec un chercheur
autrichien qui a identifié les rayonnements de ces réseaux à des métaux (on ne sait malheureusement pas comment
ce chercheur a procédé, ni quels types de mesures il a effectué).
En effectuant leurs recherches, ils ont retrouvé la nature des principaux réseaux dont nous tenons compte en
Géobiologie :
- Le réseau dit Hartmann, celle du nickel.
- Le réseau dit Curry, celle du fer.
- Le réseau dit Peyré, portant la radiation de l’or.
- Ils en ont aussi (re)découvert bien d'autres...
Ces métaux fortement chauffés générant à la surface du globe des radiations sous forme de résilles (de véritables
murs perpendiculaires), chaque métal possédant sa résille particulière d'autant plus serrée que sa quantité est
importante, l'épaisseur de ces murs radiants étant aussi différente selon les métaux, un aperçu...
Métal Dimensions maille Épaisseur Orientation Nom
Nickel 2,00 x 2,50 m 20,70 cm x Hartmann
Fer 2,00 x 2,50 m 20 à 40 cm + Curry
Or 7 à 8,00 m 29,70 cm + Peyré
Cuivre 5,50 à 7,50 m 30,00 cm x Palm
Aluminium 8,50 à 11,50 m 36,00 cm x Wissmann
+ pour les réseaux orientés Nord/Sud, x pour les réseaux diagonaux
Tout métal chauffé irradiant, noyés dans la masse pâteuse en fusion ils sont soumis à la force centrifuge et
s'éloignent peu à peu du centre, jusqu'au moment où il n'y a plus assez de chaleur pour les maintenir en fusion,
chaque métal aura donc un itinéraire et un déploiement différent selon sa densité et sa conductibilité...
Un exemple des résilles de métaux qui irradient la basilique de Vézelay (source George Prat).
Entrant en résonance avec les métaux et les oligo-éléments présents dans notre corps, ces résilles qui étaient un
des paramètres pris en compte pour implanter un dolmen ou un menhir, le nickel et le fer notamment, mais aussi le
palladium, le titane, le lithium ou encore l'antimoine, ont également été utilisés par les bâtisseurs des
sanctuaires consacrés à mithra, les égyptiens, les aztèques, les celtes, puis plus proches de nous, les églises romanes.
D'où comme l’homéopathie et l’oligothérapie, les propriétés soignantes de ces lieux particuliers connus pour
être "guérisseurs", la présence de ces résilles expliquant une grande partie de
leurs propriétés régénératrices et curatives, le croisement de plusieurs agissant d’autant...
Ces résilles constituant également une trame planétaire qui
capte et redistribue l'énergie vitale, et qui est en quelque sorte le système circulatoire de la terre, son réseau
de vaisseaux sanguins...