Le constat
Un filtre n'ayant pas été prévu, en transmettant les informations de consommation, des radiofréquences viennent
s'ajouter à celles déjà présentes et se propagent dans l'environnement des habitations via le compteur.
* En observant que même lorsque le compteur Linky n'est pas posé, et qu'on pense être protégé parce qu'on l'a soi-même
refusé (ou la commune), on n'en est pas moins impacté
notamment par le courant CPL provenant des concentrateurs et
des habitations environnantes, qui est présent sur tout le réseau national Erdf...
Il convient également de prendre aussi en compte le fait que comme les câbles de ce réseau, ceux des installations
électriques intérieures se comportent comme des antennes vers lesquelles convergent des rayonnements
électromagnétiques de toutes fréquences (sauf s'ils sont blindés hautes fréquences), ce qui constitue
l'électricité polluée ou sale.
Les observations relevées par Raymond Tricone ayant été confirmées dans son récent rapport par le CSTB (Centre
Scientifique et Technique du Bâtiment) qui possède l’accréditation COFRAC (COmité FRançais d’ACcréditation), et qui,
bien que comportant de nombreuses lacunes, n'en confirme pas moins cet impact sanitaire.
Bonne nouvelle, des solutions existent...
La meilleure des solutions sera de refuser la pose de ce type de compteur, ce qui est légal contrairement à certains discours ambiants..., le refus de l'accès aux poseurs étant d'autant plus simple lorsqu'il sera situé à l'intérieur de l'habitation.
Plus d'infos...
Robin des toits
Kelwatt
C'est officiel, Linky n'est pas obligatoire...
Enedis reconnait l'électrohypersensibilité...
Un kit de refus VigiLinky pour les copropriétés
Lorsqu'il est posé, on pourra installer un filtre dit de série, ou passe-bas, ce qui permettra de bloquer les CPL entrant et sortant (selon les modèles), ainsi que réduire les microsurtensions présentes dans l'installation électrique (mais qui ne réduira cependant pas les champs électriques émis par l'installation et les câbles).
Un appareil qui s’intercale entre le compteur et le tableau électrique (devant être installé par un électricien), avec cette remarque, que les plus efficaces ne sont pas forcément les plus chers, les moins chers faisant tout à fait l’affaire tant que l’on reste dans la limite de 40 Ampères de courant circulant...
Parmi les plus performants...
- le Strike de Spica, chez CEM-Bioprotect,
- le Penda de Polier, le Zen Protect de Biovolts, ou encore l'Emikon,
disponibles chez Choix de vie, Geotellurique, Auxillium, Electromagnetique, BioVolts protect ou Emikon.
- ou bien l'Absomagnet d'Abso ondes, chez CEM-vivant.
Comme les câbles des installations électriques ne sont pas prévus pour ce type de fréquences, et qu'ils captent et réémettent ces rayonnements dans toutes les pièces d'habitation, mettre en place des gaines ou des câbles blindés (hautes fréquences) pour les neutraliser sera l'idéal, mais pourra s'avérer compliqué et coûteux dans l'habitat existant.
Des filtres parallèles permettront d'agir sur les effets biologiques potentiels produits par les fréquences parasites émises par le CPL et l'électricité sale (dirty electricity).
Se connectant simplement sur des prises murales, ce type de matériel permettra de fortement atténuer et même supprimer ces perturbations en installant des appareils spécifiques...
- un DE2 d'EMFields, un Panda de Polier, un (ou des) Stetzerizer,
disponibles chez Geotellurique ou Electromagnetique.
- un Absoplug, chez CEM-vivant ou Abso ondes.
Pour quantifier les microsurtensions, on pourra utiliser un appareil spécifique qui se connecte directement sur une prise du secteur.
Appelé détecteur d'électricité sale (dirty electricity), cet appareil permettra de se rendre compte de ce qui se passe Avant/Après la pose d'un filtre...
- En évaluant le niveau d'électricité sale sur le réseau domestique.
- En identifiant les sources de pollution et les appareils perturbateurs.
- Et en objectivant l'efficacité des filtres installés.
Un objectif raisonnable et réalisable sera d’essayer de garder des valeurs n’excédant pas 100 mV.
En complément
On va dire sur le plan des énergies subtiles, on pourra par exemple employer les produits CMO, une gamme de produits parmi les rares dont les scientifiques reconnaissent qu'il se passe quelque chose, ou aussi des produits à base de shungite, qui exerceront une action sur les effets de ces rayonnements.
Pour ce qui me concerne, sans prétendre avoir la science infuse, je pense que l'action au niveau physiologique s'effectue aussi au niveau des champs de torsion, un phénomène peu connu en France, mais que les Russes connaissent bien et sont même très avancés sur le sujet.
Par le fait du mode de comptage qui est différent, installer un délesteur permettra d'éviter de contracter un abonnement supérieur avec un ampérage plus élevé.
Le cas des compteurs Gaz et Eau à télérelève
Avec ce type de compteurs, la technologie employée étant différente, la solution sera plus simple...
En les recouvrant de plusieurs feuilles de papier aluminium alimentaire, on pourra bloquer les émissions radiatives des micro-ondes des modules émetteurs de Radiofréquences.
Il ne passera plus alors d’émissions, et consécutivement plus de données, les Si ou Datacenter se retrouveront cependant alors dans l’impossibilité d’effectuer le relevé de la courbe de charges à distance.
Les opérateurs n’appréciant pas et ne souhaitant pas que se généralise l’annihilation de ces rayonnements, il semblerait que lorsqu’on demande le démontage du module Radiofréquences au service gestionnaire de l‘eau (en général communal) ou du gaz, il soient (généralement) déposés (déclipsés)...