La qualité de l'air intérieur

 

Ateliers habitat vivant

 

  Accueil   / Vers un habitat sain   / La qualité de l'air intérieur

L'air intérieur


La bonne qualité de l’air à l’intérieur d’un bâtiment a un effet démontré sur le bien-être et les relations entre les occupants, et aussi sur la qualité de concentration et le taux d’absentéisme, ainsi, une mauvaise qualité de l’air pourra favoriser l’émergence de symptômes tels que maux de tête, fatigue, irritation des yeux, du nez, de la gorge et de la peau, vertiges et des manifestations allergiques, ou encore de l’asthme......









On notera que ces composants agissent également sur la qualité de l’ionisation de l’air.

 

Une ionisation négative, que l’on trouve près d’une cascade, du bord de mer, d’une forêt de pins, ou encore en altitude, favoriseront une ambiance calme et sereine, alors qu’une ionisation positive génèrera une ambiance tendue, les émissions de champs électromagnéti-ques artificiels venant se surajouter, on aura alors une ambiance "électrique", peu favorable à la détente et au
bien-être.



 

Beaucoup de produits, de matériaux ou d’équipements contiennent des substances chimiques incorporées...

 

Très volatiles, ces substances s’évaporent facilement lors de leur application, de leur séchage ou de leur installation, ainsi
qu’au cours de leur vieillissement, et elles se diffusent ensuite, par exemple des meubles, des diffuseurs de parfums, des
peintures, des parquets vitrifiés, des moquettes, des sols plastiques, des armoires en bois aggloméré, ou encore des
matelas ou des tentures...

 

Un indice pourra interpeller : une odeur parfois tenace qui flotte dans l’air, ces substances chimiques imprégnant
également la poussière, elles pourront se loger dans les tapis, les canapés, les textiles ou les papiers peints, puis à nouveau
être relâchées dans l’air intérieur.

 

Ces sources de pollutions sont multiples, une trentaine environ sont recensées et reconnues comme nocives et font l’objet
de classifications officielles par l’OQAI (Office de la Qualité de l’Air Intérieur).

 


Ces polluants chimiques pourront provoquer des irritations de la peau, du nez, de la gorge, des yeux, une sensation d’inconfort, un état de fatigue, des nausées, ou encore une hypersensibilité aux odeurs...
D’autres pourront être responsables de pathologies plus ou moins importantes... la présence de ces polluants dans l’air intérieur est aussi une des causes de l’augmentation importante des allergies, surtout chez les enfants (sources : OMS / INVS).

 

Leurs effets sur la santé pouvant se répartir en deux groupes :

  • les effets liés à une exposition à court terme, quelques jours ou semaines après l’exposition, par exemple, des symptômes d’irritations de la peau, des muqueuses ou du tractus respiratoire, des nausées, des céphalées,...
  • et les effets liés à une exposition de longue durée, dans ce cas, il pourra s’agir de pathologies respiratoires, neurologiques,... jusqu’au développement de certains cancers...

 

  * Leurs effets dépendant du type de polluants, de leur concentration, de la durée d’exposition et aussi de la sensibilité de     chaque personne.

 

 

Un exemple de solutions pour se préserver

 

Pour approfondir s'il existe une présence potentielle de polluants nocifs dans votre habitation...

 

Le Dräger Bio-Check Formaldéhyde, permettra d'effectuer des mesures de formaldéhyde sans nécessiter d'accessoires supplémentaires.

 

La peinture dépolluante Label'Onip Clean'R, qui une fois appliquée, possésera la propriété intéressante de capter
et éliminer les molécules de formaldéhyde présentes dans l'air...

 

La qualité de l'air intérieur

 

   Décoratives, mais pas seulement, les plantes peuvent aussi purifier l’air intérieur...

 

En respirant, certaines plantes absorbent les particules en suspension dans l'air et les évacuent par les
racines, celles-ci sont ensuite détruites par les micro-organismes présents dans le terreau.

 

La Nasa a été la première à mettre en avant les vertus purificatrices des plantes pour traiter l'air des
capsules spatiales, le centre scientifique et technique du bâtiment, la faculté de pharmacie de Lille
les étudient...

 

Pour les produits et les services de consommation courante, on utilisera de préférence des produits labellisés, qui prennent
en compte l’ensemble du cycle de vie des produits, de leur production à leur élimination, en passant par leur distribution,
leur transport et leur utilisation.

 

Ces labels tenant également compte des matières premières utilisées, de la consommation énergétique à tous les stades
du cycle de vie, des pollutions générées sur l’eau, sur l’air, les sols et les déchets... ainsi que de leur efficacité...